Troisième ouvrage de Paolo Bagigalupi, dont j'ai déjà critiqué le recueil de nouvelles Pump Six, Ship Breaker est un roman destiné avant tous à des ados et jeunes adultes.
Il conte donc une histoire relativement classique d'un ado travaillant dans le démantèlement de vieux navires. Un travail dangereux et très mal payé. Peu après avoir échappé à la mort, il découvre un bateau dernier cris échoué sur les rochers. Alors qu'il croit à son jour de chance, il doit y avoir des richesses à récupérer sur un si joli navire, il découvrir une survivante de son âge. Pour cette fille venu quasiment d'un autre monde, il va lutter pour qu'elle survive et sortir de sa condition.
Se déroulant en Floride/Louisiane, Ship Breaker n'est pas intéressant pour son histoire somme tout assez classique ni son écriture maitrisée, mais pour le monde qu'il dépeint : un futur où l'humanité a ravagé écologiquement la Terre, où notre époque est appelé "l'age de l'accélération", où les matières premières sont rares, où la grande majorité de l'humanité survit pendant que quelques uns ont de quoi vivre dans le grand luxe et la technologie, où des ouragans "tueurs de cité" sont choses courantes, où la génétique à créer de nouveaux esclave. Une anticipation intéressante basée sur notre mode de vie actuel. Elle a de plus le bon goût de ne pas être jetée au visage du lecteur, mais plutôt d'être présente en arrière fond, toujours mais subtilement.
Il conte donc une histoire relativement classique d'un ado travaillant dans le démantèlement de vieux navires. Un travail dangereux et très mal payé. Peu après avoir échappé à la mort, il découvre un bateau dernier cris échoué sur les rochers. Alors qu'il croit à son jour de chance, il doit y avoir des richesses à récupérer sur un si joli navire, il découvrir une survivante de son âge. Pour cette fille venu quasiment d'un autre monde, il va lutter pour qu'elle survive et sortir de sa condition.
Se déroulant en Floride/Louisiane, Ship Breaker n'est pas intéressant pour son histoire somme tout assez classique ni son écriture maitrisée, mais pour le monde qu'il dépeint : un futur où l'humanité a ravagé écologiquement la Terre, où notre époque est appelé "l'age de l'accélération", où les matières premières sont rares, où la grande majorité de l'humanité survit pendant que quelques uns ont de quoi vivre dans le grand luxe et la technologie, où des ouragans "tueurs de cité" sont choses courantes, où la génétique à créer de nouveaux esclave. Une anticipation intéressante basée sur notre mode de vie actuel. Elle a de plus le bon goût de ne pas être jetée au visage du lecteur, mais plutôt d'être présente en arrière fond, toujours mais subtilement.
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