Troisième volume de la série des Gentleman Bastard, et longuement attendu, The Republic of Thieves débute peu de temps après la fin de second volume.
Locke, voleur et escroc de haut vole, se meurt sous les effets du poison qu'il a reçut. Son ami Jean, tente tous pour le sauver mais aucuns des médecins de la ville dans laquelle il se trouve n'est capable de produire un antidote. C'est le moment que choisis une mage pour leur proposer un marcher : elle sauve la vie de Locke et en échange lui et Jean se rendent à Karthain (la cité-état qui héberge la "confrérie" des mages et soient les agents de sa faction lors de l’élection des représentant du conseil de la cité. En effet, tous les cinq ans, les élections sont l'occasion pour les deux factions de mages, qui manipulent de toute façon le conseil de la ville, de s'affronter via des agents extérieurs. La faction gagnante est celle dont les agents ont permis aux anciens aristocrates ou aux bourgeois de gagner les élections.
Locke et Jean devront faire gagner les anciens aristocrates. alors que Sabetha, l'amour perdu de Locke, tentera de faire gagner la faction adverse. Sans réelles autres alternatives Locke et Jean acceptent. S'engage alors entre les anciens alliés une lutte de haut vole pour gagner les élections. Tous cela bien sur alors que l'amour de Locke pour Sabetha est encore bien présent.
En parallèle, le roman intercale des flashbacks sur la jeunesse de Locke qui mettent en lumière son histoire avec Sabetha, un plan pour aider un directeur de théâtre à mettre sur pied la célèbre pièce "La République des voleurs"...
The Republic of Thieves s'est fait attendre, mais l'attente n'a pas été vaine. Il est du même tonneau que les deux premiers tomes et réserve son lot de surprises et de retournement (les origines de Locke sont ainsi révélée). Personnellement j'ai adoré et j'attends avec impatience la suite de cette série prévue pour compter sept tome.
1 commentaire:
Tout le monde en parle, argh, pourquoi ai-je donc une PAL si haute ? Il me tarde de découvrir cette série.
Enregistrer un commentaire