Second tome d’une série, A Better World débute trois mois après la fin du premier tome. Suite au scandale rendu publique à la fin du premier tome, le vice-président, un professeur d’histoire, a pris les rênes des États-Unis et l’agence gouvernementale chargée de contrôlé les « brillants » (apparu au début des années 80, les brillants, 1% de la population, ont tous un don, tel que le génie stratégique, la capacité de lire les gens comme dans un livre ou, pour les moins puissants, de factoriser des grands nombres ou d’estimer le nombre de bonbon dans un jarre, qui leur permet, dans une spécialité précise, d’exceller) a perdu beaucoup de son pouvoir.
Nick Cooper, ancien agent d’élite de cette agence, est en congé prolongé lorsque le président l’engage comme un de ses conseiller. En but au radicalisme des autres conseillers, le pays doit faire face à une attaque terroriste de grande ampleur qui laisser trois cités américaines sans nourritures et sans électricités. Face à la menace terroriste, Nick se démène pour tenter d’empêcher une guerre civile. Découvrant qu’il a été un pion du génie de la stratégie John Smith, il commence une course contre le montre.
Dans le même temps, un scientifique fait son possible pour protéger sa famille dans la cité de Cleveland, une des trois cité en état de siège, alors que ses travaux sont peut-être la clef de la paix ou d’une révolution.
Si les thématiques abordés par le roman ne sont pas neuves, A Better World est une lecture prenante et agréable. Cette série me plait vraiment beaucoup et j’espère pouvoir lire prochainement le tome suivant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire