Second tome, sur deux aujourd'hui, d'une série de Clive Barker, Abarat, days of magic, nights of war reprend là où le premier tome, que j'ai lu il y a déjà quelques années, s'était arrêté.
On suit ainsi la seconde partie des aventures de Candy Quakenbush, une jeune fille qui est passée de la petite ville de Chikentown, Minesota, au monde merveilleux d'Abarat, un archipel où chaque île est une heure de la journée ("bloquée sur cette heure là) et dont les habitants sont tous plus extraordinaires les uns des autres. Et mal grès l'étrangeté de l'endroit, Candy s'y sent étrangement bien et déploie des aptitudes qu'elle s'ignorait posséder...
Dans ce second tome, Candy est confrontée au mystère de ses origines et au bruit de la guerre que le seigneur de minuit, Christopher Carrion, s'apprête à mener. Alors qu'elle s'approche de la vérité, le destin d'Abarat est sur le point de basculer. Semblant avoir un rôle important à jouer, Candy pourra-t-elle sauver le monde qu'elle aime temps ?
Abarat est un roman étrange, bien écrit, il ressemble à un Alice aux pays des merveilles ou au magicien d'oz tend l'univers où Candy se retrouve est étrange et fantastique. Parois même un peu trop, une des deux choses qui m'ont déranger dans ce roman, au demeurant fort plaisant, c'est le carnaval continu d'étrangetés qui se succèdent à un rythme effréné; cela participe sans doute du sentiment d'étrangeté que dégage le monde d'Abarat, mais je trouve que c'est parfois un peu "too much." Le second reproche concerne le récit qui prend par fois des détours un peu surprenant qui l'allonge peut-être un peu trop.
Mais si vous cherchez une lecteur de fantasy décalé et étrange, ce roman est définitivement pour vous (essayer quand même de lire avant le premier tome, sinon je crains que vous ne compreniez rien du tous au récit).
3 commentaires:
Euh, ça ne ressemble pas à une ressuçée de Imajiga, par le même auteur ? Ce que tu en dis m'y fait vraiment penser, avec les même défauts : la découverte d'un univers parallèle, une loooongue galerie de créatures étranges qui finissent par lasser, un héros qui se découvre des pouvoirs...
c'est possible, mais je n'ai pas lu Imajiga. Par contre la description que tu fais s'appliquer parfaitement à Abarat.
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