lundi 18 avril 2016

Ready Player One

Cela fait plusieurs années que je voulais lire ce romand ce Ernest Cline se déroulant en 2044 alors la planète vit une crise économique globale. Une partie importante de la population passe son temps dans OASIS, un univers de réalité virtuel extrêmement riche et qui peut être accéder avec des dispositifs d'immersions en réalité virtuel poussé.
 
Alors que le roman débute, James Halliday, richissime homme d'affaire et créateur d'OASIS vient de mourir et une vidéo posthume est publiée qui lègue sa fortune et le contrôle d'OASIS à celui qui réussira à trouver trois clefs cachées dans OASIS et passer, avec, les trois portes / instances. Pour lancer la quête, Halliday laisse un journal dans lequel il détail les différents films et jeux qu'il a aimé et une énigme à résoudre.
 
De nombreuses personnes se lancent à la recherche de la première clef dans l'espoir de devenir richissime, provoquant au passage un regain d'intérêt pour la culture des années 80 et 90. Mais après plusieurs années sans que la quête ne progresse, l'intérêt du public diminue et seul une minorité poursuit encore la quête; une minorité et une corporation dont une division entière, pilotée par Nolan Sorrento, est chargée de mener la quête de Hlliday dans le but de prendre le contrôle d'OASIS.
 
Le roman suit Wade Owen Watts/Parzival, un jeune homme de 17 ans appartenant à une famille pauvre, la norme aux États-Unis, qui recherche également la première clef. Lorsque, contre tout attente, il la trouve, il se retrouve plongé, avec d'autres jeunes gens, au seins d'une quête plus dangereuse qu'il n'y parait.
 
Ready Player One est un roman très intéressant et bien mené aux multiples rebondissement. A part une ou deux scènes qui m'ont semblé un peu tirée par les cheveux, c'est une lecture agréable. A noter qu'il existe une courte fan fiction écrit par Andy Weir (l'autre du livre Le martien) sur Nola Sorrento qui change complétement la vision du personnage. Cette nouvelle (que je trouve brillante), à lire après le roman, est devenue canon depuis qu'elle a été incluse dans la dernière édition américaine d'icelle.

Aucun commentaire: