Certains individus développent une obsession si forte qu'ils arrivent à altérer la réalité : une personne obsédée par le feu peut le contrôle, quelqu'un obsédé par les jeux vidéos peut leur donner une réalité, etc. Ces individus, connus sous le nom de "Mancer", sont craints par tous le monde, à la fois par leu puissance mais également parce que l'Europe a été détruite à la fin de la seconde guerre mondial lorsque des "mancers" se sont affrontés et ont créer des trous dans la réalité elle-même. L'armée a une unité spécial qui les traque et leurs lave le cerveau afin de les mettre à son service. Si les "mancers" sont un danger pour la réalité, le fait que la réalité réagisse mal à leur manipulation et provoque un retour de manivelle (le flex) qui détruit ce à quoi ils tiennent le plus les rends dangereux pour leurs proches également.
Paul Tsabo est un ancien policier, divorcé avec une petite fille, il travaille pour une compagnie d'assurance. Il est également une petite célébrité pour avoir tuer une "mancer". Acte qui le ronge, surtout depuis que son obsession pour la paperasse à fait de lui un "mancer" capable de manipuler les registres et les administrations. Lorsque sa fille passe à deux doigts de mourir bruler car une "mancer" fabrique et vend de la drogue qui donne des pouvoirs mais rend les backslach dangereux également, Paul se décide à la traquer. Durant son enquête il rencontrera et se liera d'amitié avec une "videomancer".
Le second tome (The Flux) se déroule quelques années après et implique la découverte d'autres "mancers" à New York et la lute de Paul contre un ordre établis qui le menace et menace sa fille.
The Flex et The Flux sont deux romans d'urban fantasy fort sympathique que j'ai pris plaisir à lire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire