Débutant quelques jours après la fin de The Dirty Streets of Heaven, Happy Hour In Hell suit toujours les aventures de Boby Dollar, un ange vivant dans la ville imaginaire de Saint-Judas et travaillant comme avocat pour défendre les âmes des trépassés.
A la fin du premier tome de la série, Boby se trouve dans une position délicate : il est tombé amoureux d’une démone, son meilleur ami, un ange également, a fait défection pour créer, avec l’aide d’un mystérieux archange et d’autres anges, une "troisième voie" entre l’Enfer et le Paradis, il est sous enquête par la hiérarchie angélique, un Grand Duc des Enfers s’intéresse à lui car il a en sa possession la plume d’un archange, mais lequel ?, qui a passé un accord avec le Grand Duc. En plus de tous ses problèmes, un démon qui avait été supposément détruit réapparait et menace Boby afin de savoir où se trouve la plume.
C’est dans ce contexte que Boby décide de se rendre aux enfers afin de délivre sa petite-ami des griffes du Grand Duc. Happy Hour In Hell est donc avant tous le récit des pérégrinations de Boby aux enfers ; pérégrinations qui ne seront pas de tous repos et qui laisseront à Boby un gout amer.
Si cette série m’intéresse toujours et que j’ai pris plaisir à l’écoute de ce second tome, je dois bien avouer que la décente aux enfers occupent beaucoup trop d’espace dans un roman qui est avant tous une grande parenthèse durant laquelle les intrigues concernant la troisième voies et la politique angélique sont relégués au second plan. C’est bien dommage car les questions que ces intrigues soulèvent me semblent le plus intéressant dans la série. J’espère que le troisième tome apportera plus de réponses et de développement de ce côté-là.
L'ange qui tombe amoureux d'une démone, la "troisième voie", ça ressemble quand même beaucoup à du INS/MV, qui déjà à l'époque n'était pas super original dans le genre.
RépondreSupprimerÀ lire ta chronique, ça ressemble quand même à un gros ramassis de clichés.
c'est clairement de la "bit-lit" "pour homme" : càd les scènes de sex sont beaucoup moins nombreuses et crus que dans la bit-lit "classique".
RépondreSupprimerEt effectivement c'est un ramassis de clichés. Mais Tad Williams écrit suffisémenet bien pour que cela reste plaisant à lire ;)
Ca a l’air bien barré ! :)
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